Congrès précédents

Congrès 2014 – Le temps des émotions

Les émotions.
Qu’est-ce-que c’est exactement ? Qu’en disent les sciences ? Pour en faire quoi ? Et après ?

À ces questions, ce congrès a amené quelques réponses, des pistes de réflexions, des témoignages de pratiques des domaines différents d’exercice.

Sans oublier les émotions du praticien.

 

Congrès 2013 – Traumatismes et résilience

Il est des événements de vie, des chocs plus ou moins violents, dont l’intensité, associée à l’incapacité d’y répondre de façon adéquate, provoque des troubles avec des effets pathogènes dans l’ensemble de l’organisation de la vie d’un individu.

À la souffrance du sujet traumatisé, quelles réponses peut apporter la sophrologie ?

 

Congrès 2012 – Sophrologie et Vie quotidienne

Un thème qui pourrait sembler banal et s’est révélé passionnant pour cette édition 2012 des Actes du Congrès de la Société Française de Sophrologie.

Parce que le monde change et qu’il semble aller d’une marche forcée vers l’aveuglement et la dureté, mené de main de fer par une économie ultralibérale, il nous oblige à chercher consciemment dans notre quotidien des forces de ressource, de refuge et de résilience.

 

Congrès 2011 – Sophrologie sans frontières

Des outils pertinents pour de nouvelles attentes…

Le temps n’est plus – si tant est qu’il ait jamais existé – où la sophrologie paraissait devoir se cantonner à un territoire relativement limité, lutte anti-douleur et gestion du stress sur le versant sophrothérapie, relation d’aide et développement personnel sur celui de la sophrologie sociale.

 

Congrès 2009 – Le sophrologue face aux attentes du sujet en crise

En quoi la sophrologie peut-elle répondre à la crise du sujet « post-moderne »?

Crise… phase décisive d’une maladie, mais aussi moment critique ou moment de la critique.

 

Congrès 2008 – Sophrologie et estime de soi

L’estime de soi… la sophrologie peut-elle apporter ses réponses, mais surtout réponse intime et particulière à chacun?

Comment, aux différents âges de la vie, âge scolaire et problèmes de motivation, adolescence confrontée aux attentes parentales, insertion professionnelle face à la dureté du monde du travail, grand vieillissement impliquant des renoncements divers, nourrir, étayer le narcissisme de chacun, le restaurer s’il est défaillant?

La sophrologie, par son approche spécifique de la personne, peut-elle être ne pédagogie de l’estime de soi?

 

Congrès 2007 – La place de la sophrologie dans l’avenir de notre société

Quelles réponses la sophrologie peut-elle apporter aujourd’hui à l’individu, « malade aussi de la société »?

Désinsertions, exclusions diverses, troubles du comportement, douleurs physiques ou mentales, vieillissement…

Par son approche globale de la personne, à l’écoute du corps, de la parole et des émotions, elle semble pouvoir éveiller, réveiller même chez chacun, de l’école au grand âge, ressources et potentialités.

 

Congrès 2006 – Sophrologie et addictions

Que la dépendance soit à un produit, une personne, une expérience, corps et psyché en témoignent… dramatiquement.

 

Congrès 2005 – Sophrologie et créativité

Nouveau et passionnant sujet de recherche, voie royale d’accès à l’imaginaire, la Société Française de Sophrologie explore cette fois la créativité.

Chemin d’épanouissement, voyage intérieur ou accès sublimé à toute forme d’art, la sophrologie conte cette aventure.

 

Congrès 2004 – La sophrologie face au changement

Que la sophrologie ait aujourd’hui conquis droit de cité dans divers milieux, le sport de haut niveau, l’hôpital, la relation d’aide, l’entreprise… cela n’est plus à démontrer.

Qu’elle gagne peu à peu une reconnaissance dans les prisons, l’école, les maisons de retraite, c’est, au-delà d’un souhait ou d’un projet, un combat.

 

Congrès 2003 – Violences…

Violences et sophrologie… Le thème nous avait interpellés non seulement pour son actualité, mais pour cette sorte de contradiction que nous ressentions à accoler les 2 termes.

N’y avait-il pas une certaine incongruité à parler violence au cœur d’une discipline qui fait du « discours agréable » son principal instrument et du « lâcher-prise » la condition de son efficacité?

 

Congrès 2002 – L’amour au temps des thérapies

Un thème relativement insolite pour cette édition 2002 du Congrès de la Société Française de Sophrologie, justifié par ce constat que la demande en thérapie avait évolué de nos jours jusqu’à faire du chagrin d’amour ou de la difficulté d’aimer un motif de consultation.

 

Congrès 2001 – L’hystérie dans tous ses états

La question de l’hystérie n’avait jamais été abordée comme thème central du congrès annuel de la Société Française de Sophrologie.

Pourtant, un regard extérieur sur les pratiques corporelles proposées au patient ne pourrait que constater un effet évident d’hystérisation.

 

Congrès 2000 – Les différents modes d’être au temps

Réfléchir sur le temps en psychothérapie, voilà bien un sujet difficile!

Les sophrologues de la S.F.S. se sont souvenus qu’ils sont enfants de la psychanalyse, hantée par ce temps qui « ne passe pas », et de la phénoménologie de Husserl pour qui « le monde réel ne réside que dans la présomption constamment prescrite que l’expérience continuera de se dérouler selon le même style constitutif ».

 

Congrès 1999 – Dépressions et chemins de vie

« Dépressions et chemins de vie », voilà bien un titre paradoxal.

Les dépressions sont traitées dans leur diversité et dans leur potentiel thérapeutique.

Oui! On peut « sortir de la dépression », à condition d’en intégrer le vécu, ainsi que le propose la sophrologie.

 

Congrès 1998 – La sophrologie face aux difficultés de la vie – Le corps en question

Voici présentées, en un vaste panorama, les méthodes propres à la sophrologie. Le sophrologie est une voie d’épanouissement du potentiel humain.

Elle articule un travail corporel et imaginaire. C’est ce socle qu’elle s’est diversifiée en sophrologie sociale, sophrothérapie, sophroanalyse et méthode sophrologique propre à la psychiatrie.

 

Congrès 1994 et 1995 – Approches expérimentales des chemins initiatiques d’Orient et d’Occident

D’aucuns pensent que les anciennes initiations d’Orient ou d’Occident sont, au creux de notre modernité, des relents fumeux et poussiéreux, à la limite du sectaire, de faux mystères pour une irréaliste humanité.

Cet ouvrage rassemble de quoi faire réfléchir. Des scientifiques dans les sciences humaines, des psychotherapeutes, des sophrologues, des spécialistes des religions anciennes se sont penchés sur la réalité initiatique en tant que nécessité face aux besoins exprimés par la psyché humaine dans son évolution.

Le phénomène initiatique, qu’il soit inclus dans le sentiment religieux ou non, se présente au regard des sciences humaines comme une « praxis » tendant à aider l’individu à « étendre la totalité de son être ». Jung aurait ici parlé d’individuation.

Cet ouvrage est une « révolution » dans le sens où les sagesses antiques viennent épauler les recherches tendant à mieux définir ce « là en mouvement » qu’est l’homme traînant ses héritages dans son très moderne et difficile « ici et maintenant » le plus souvent déraciné.